Warning: main() [function.main]: open_basedir restriction in effect. File(/mnt/102/sdb/c/f/sweet.fanfiction/include/start.php) is not within the allowed path(s): (/mnt/110/sda/c/f/sweet.fanfiction) in /mnt/110/sda/c/f/sweet.fanfiction/layout.php on line 6

Warning: main(/mnt/102/sdb/c/f/sweet.fanfiction/include/start.php) [function.main]: failed to open stream: Operation not permitted in /mnt/110/sda/c/f/sweet.fanfiction/layout.php on line 6

Warning: main() [function.include]: Failed opening '/mnt/102/sdb/c/f/sweet.fanfiction/include/start.php' for inclusion (include_path='/mnt/110/sda/c/f/sweet.fanfiction/include:.:/usr/php4/lib/php') in /mnt/110/sda/c/f/sweet.fanfiction/layout.php on line 6
Sweet Fanfiction ; Version 3 .
  • WANDERING xL
  • Heavenly Star
  • Heavenly Dream
  • Login:

    Mot de Passe:

    # Connexion }
    # S'inscrire }


    Pour toi je vais enfin mourir


    Yume [x]
    Pour toi je vais enfin mourir - 3 chapitres - En cours
    Description: Des êtres. Qui s'attirent. Qui vont s'aimer.A en perdre toute notion de bien et de mal... *** Henrietta Pills, 17 ans, emmenage dans le petit village de Cerf-le-Vigneron. Désireuse de se faire des amis, elle y rencontre le fascinant Alexandre qui, tout comme elle, semble cacher de douloureux secrets.
    Catégorie: Inventé - Autre
    Genres: Autre - Psychologique
    Persos principaux: Inventé - Inventé

    # Retour à l'index de la fanfiction }

    .Prologue. # Chapitre 0

     

     

    "D'une macabre douceur,

    Qu’un souffle mortuaire

    Immaculé

    Elève dans les airs

    Tes songes inhumés »

     

    Prologue :

     

    J’ouvris mon paquet de cigarettes d’une main, mes lunettes noires ne laissaient pas montrer mes larmes. Elles ne cessaient de couler, et chaque fois de l’autre main j’effaçais les traces de honte.

    Un café parisien. Je n’aurais jamais deviné que je terminerais là, seule, en face de mon verre de diabolo menthe.Jamais je n’aurais pensé que je deviendrais celle que je suis. C’était grâce à eux- et à cause de lui- que j’en étais arrivée là, morte à l’intérieur même si d’apparence je ressemblais à la Parisienne type.

     

                                               A cause de lui…

     

     

    Je regardais dehors, enlevais ce qui m’empêchait de voir le bleu du ciel, payais l’addition et m’en allais.

     

                Je mourrais à petit feu, mais y’avait-il une solution ?

     

    Posté le 15/10/2008 - 19h15