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Sweet Fanfiction ; Version 3 .
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    La Malédiction du Coeur


    Kyubi [x]
    La Malédiction du Coeur - 5 chapitres - En cours
    Description: Temari est une lycéenne malheureuse. Brimée, victime de chantage affectif et d\'attouchement de la part d\'un de ses professeur, tout cela n\'est rien face à ses blessures du cœur, à son horrible sentiment de culpabilité et à sa solitude. Pourquoi culpabilise-t-elle ? Est-elle réellement seule ? Bon gré mal gré, elle se retrouvera au cœur et impliqué plus que de raison dans une rivalité et d\'une malédiction vieille de plusieurs centaines d\'années dont elle n\'a même pas connaissance. Univers Alternatif/Couples Originaux/
    Catégorie: Naruto
    Genres: Shojo - Fantasy
    Persos principaux: Temari - Nara Shikamaru

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    {Remember} A trois, on est plus fort # Chapitre 5

    {Remember}: A trois, on est plus fort.

    J’introduirais par moment dans l’histoire, des chapitres « Remember ». Ce seront des chapitres spéciaux car ils raconteront certains moments passés (en rapport avec l’histoire quand même) de la vie des personnages. J’essaierais d’éviter les coupures dans le scénario, que ça ne casse pas le suspens en dérivant sur autre chose. Mais je pense que c’est quelque chose d’intéressant à faire car c’est rentrer dans l’intimité des personnages sans qu’ils aient à tout révéler (c’est pourquoi ces chapitres seront écrit à la première personne).

    Ce seront également des chapitres me permettant de me retrouver dans l’histoire et l’évolution de chaque personnage (pourquoi je parle d’évolution ? Explication au prochain chapitre ^^). Bonne lecture !

     

    Haine…

    Aussi loin que je m’en souviens, mon père n’avait jamais fait preuve d’affection à mon égard. Ni à celui de mon frère. Le seul qui avait reçu son attention, c’était Gaara. A son plus grand malheur.

    Père -il refusait qu’on l’appelle « papa »- avait été promu au poste de Kazekage très jeune, il était certainement le plus jeune Kazekage que la ville de Suna est connue. J’étais encore petite fille lorsque maman me prit dans ses bras et m’annonça, toute sourire :

    «_ Papa est devenu quelqu’un ma puce. Il aura moins de temps à t’accorder maintenant, j’en suis désolé… »

    Etait-il plus présent dans ma vie avant ? Je ne sais pas, à l’époque j’avais à peine deux ans. Il avait été élu pour les dix prochaines années à venir. S’il était plus attentionné avant, je pense à mon pauvre Kankurô qui n’a jamais pu avoir la chance de connaître ou de se rappeler d’un sourire sincère de la part de père. Il avait un an à cette période, maman était enceinte de Gaara.

    J’étais contente d’avoir un petit frère, Kankurô était un ami qui agrémentait ma vie, quand maman passait à l’hôpital et papa était, comme toujours, enfermé dans son bureau. C’était Yashamaru qui nous gardait, en parfait oncle qu’il était. A l’époque, je pense que j’étais déjà un brin autoritaire et que je jouais ma petite chef. La présence de Kankurô me rendait forte, grande, supérieur je pense. J’étais fière de moi, je lui apprenais tout. La vie était simple, joyeuse. Nous habitions dans l’immense palais de Suna, et chaque jour était une nouvelle exploration de ce monde nouveau.

    Père n’était jamais là. Quand il rentrait, c’était à peine s’il nous accordait un sourire. Mais il était très proche de Kankurô –du moins à cette époque, si bien que le concerné ne s’en souvient pas-, cédant à ces caprices. Il était le seul à recevoir un regard fier de sa part. Peut-être est-ce de ça qu’est née ma vocation féministe. La honte de ne pas être regardé comme mon frère, l’envie, la jalousie…  Mais il n’était pas à blâmer…

    Puis est né Gaara. Puis est morte maman. Puis la roue a tourné.

    Dire que Kankurô et moi étions tombés amoureux du nouveau né au premier regard serait faux. Il nous avait prit maman. Nous étions jeunes… Nous attendions dans le couloir de l’hôpital, et je répétais des mots tendres à mon petit frère :

    « _ Tu verras Kankurô, notre petit frère ce sera le meilleur et quand il sera grand, je lui apprendrais à cracher et tu lui prêteras tes marionnettes. Ce sera super, tu verras. »

    Et il me souriait tendrement, et je lui serrais la main en murmurant ces mots.

    C’était une utopie, un rêve d’enfant. Parce qu’on a entendu papa crier à travers la porte. Pas un cri de surprise ou de douleur. Un cri de rage, qui restera à jamais gravé dans ma mémoire. Puis il sortit de la chambre sans nous jeter un regard, sous les protestations des infirmières. Puis on est rentré dans la chambre.

    Toute ma vie, je me souviendrais de ce sentiment que j’ai ressenti en apercevant ma mère, gisant dans ce lit blanc. Du vide, de l’incompréhension. De la tristesse, du désespoir. De la colère. De la haine pour l’assassin de ma mère. Kankurô s’approchait du corps de maman et la secouait doucement, sous les regards attristés et gênés des médecins. « Maman, ça va ? Il est où le petit-frère ? Maman ? Maman ? ». J’avais compris. Yashamaru s’était effondré en rentrant dans la chambre. Pas moi. Je suis restée immobile, serrant les poings, les larmes perlant sur mes joues de petite fille. J’ai couru sur mes petites jambes jusqu’aux médecins qui s’occupaient du bébé, les bousculant sans gêne. Et je l’ai vu. Celui que je me suis promis de détester. Je l’ai longtemps observé, ses cheveux rougeoyant, ses petites mains qui s’ouvraient doucement, son petit corps qui gigotait. Il ouvrit ses yeux et me dévisagea. Et il sortit un bruit. Une sorte de gazouillement incompréhensible, digne d’un oiseau chanteur. Je lui ai jeté un regard noir et ai quitté la pièce, laissant mon frère se rendre compte de l’horreur qui venait de se produire, du cauchemar dont on ne se réveillerait pas.

    On dit que les enfants sont trop jeunes pour comprendre ce genre de chose, pour comprendre les sentiments. C’est faux. A deux ans, j’ai haï mon frère jusqu’à mes douze ans.  A deux ans, je me suis haï pour ressembler à père, qui tout comme moi, avait quitté l’hôpital d’un pas rageur. Le cauchemar commençait. La perte de ma mère m’avait amené un petit frère. Un monstre, voilà ce qu’il était. Un assassin.

    Et pourtant, malgré que ce bébé fût l’assassin de maman, il arriva à la maison. Le jour de l’enterrement de maman. Je me suis mise à crier en l’apercevant dans les bras de père. Kankurô s’était caché derrière le canapé. Jamais je ne me suis autant énervée de ma vie je pense. J’avais deux ans et demi, et je répétais à tort : « je ne veux pas de ce frère, il a tué maman ! »

    Mais père me remit rapidement à ma place. Son visage était impassible, voir seulement un peu irrité de mon impolitesse. Il me gifla violemment, si violemment que je me cognai contre le mur. J’avais mal. C’est certainement ce jour là qu’on sortit la hache de guerre, lui et moi. J’avais deux ans et demi, je haïssais mon frère et mon père.

    Lui, me trouvait faible. Et idiote. Parce que j’étais une femme, et que je ne tenais pas en place. Parce que je n’étais pas d’accord. Parce que je n’étais pas comme maman. Ce même jour, je m’étais promis de montrer à père que j’étais quelqu’un de bien, quelqu’un de fort. Pour voir un peu de fierté dans son regard…

    ***

    Solitude…

    J’avais sept ans. Je commençais à grandir et était impatient de dépasser ma grande sœur Temari. Mais pour ses huit ans, elle était très grande et difficile à dépasser. Mais c’est un objectif que je me suis fixé, histoire de sortir de l’ombre.

    Depuis la mort de maman, Temari a atrocement changé. Quand on était petit, elle était joyeuse, vive, souriante. Elle était un peu orgueilleuse, c’est vrai. Mais depuis ce fameux jour, elle était particulièrement hautaine. Elle se pliait aux désirs de père, même si ça l’ennuyait plus qu’autre chose. Et quand elle faisait mal, il la frappait et de jolis bleus naissaient sur sa peau de pêche. Elle ne pleurait pas, c’était à peine si elle grimaçait sous la douleur. Temari était devenue incroyablement fière et courageuse, et pour ça je l’admirais. Moi le cadet, qui désormais vivait dans l’ombre de ma grande sœur imposante et de mon petit frère cajolé.

    Ce dernier était un drôle d’oiseau. Il avait six ans, et était plus muet qu’une pierre tombale. Son univers était limité à sa chambre, à ses jouets. Jamais je n’avais vu d’enfants plus triste, même pas Kai, le petit frère de la jolie Sachiko, qui est dans ma classe. Il se dégageait de Gaara dégageait une drôle d’atmosphère, comme s’il portait la tristesse de maman sur ses épaules, comme s’il était habité. C’est un garçon vraiment étrange.

    Temari le reniait. Elle s’occupait de lui lorsque père l’ordonnait, c'est-à-dire presque tout les jours. Et elle s’exécutait. A contrecœur.  L’amertume se lisait dans son regard, l’indifférence. Ma sœur passait ses journées dans la chambre de Gaara, et l’observait. Elle le réprimandait souvent pour un rien. Mais pas trop quand même. Parce que Gaara était réellement terrifiant. Quelque chose ou quelqu’un d’horrible était à l’intérieur de lui. Et quand on le contredisait, lorsqu’il s’énervait, cette présence se faisait très forte et oppressante. Face à cet « autre Gaara » comme elle l’appelait, même Temari restait coite et tremblait. Mais elle refusait de l’admettre, car d’après elle,  la peur était pour les faibles. Et elle se refusait à être faible.

    Je vis dans une famille de fou, ça j’en suis persuadé depuis longtemps. Sept ans, déjà dégoutté de la vie. L’avenir était prometteur. Moi, le cadet, le premier garçon de la famille, j’étais oublié. Pas rejeté, pas détesté. Oublié. Je ne pense pas que j’étais un mauvais garçon, un nul, un faible. J’étais simplement trop transparent. Et pourtant, j’ai longtemps récolté l’affection de père, à l’instar de ma sœur. Mais maintenant, c’est au tour de Gaara. Je pense que si je l’ai haïs à cette époque, ce n’était pas pour « cet autre Gaara » ou pour qu’il ait prit la vie de maman –peut-être un peu quand même-. C’était parce qu’il me prenait ma place.

    C’est à ce moment là que je me suis mis à la construction de marionnettes. Au départ, elles n’étaient certes pas très réussies… Elles étaient même plutôt ratée et Temari me le rappelait bien en sortant sarcastiquement : « tu n’es pas très doué Kankurô.». Et elle me tirait tendrement la joue en souriant. Mais avec le temps, je me suis amélioré et même mon arrogante de sœur  a admit mes talents. Ces marionnettes ont eu une place importante dans ma vie. Père me frappait à cause de ça, ne supportant pas que son crétin de fils « joue à la poupée ». Mais je ne me suis pas laissé démontée pour si peu… La preuve.

    Un après-midi de vacances, je m’étais une nouvelle fois enfermée dans ma chambre. J’étais en train de créer un petit frère à Karasu, ma première poupée, mon chef d’œuvre. Concentré comme jamais, un bruit suspect me tira néanmoins de ma réflexion. Deux petits yeux verts me fixaient par l’embrasure de la porte, qui s’ouvrit en grinçant. Gaara apparut devant moi, timide comme jamais, tenant fermement son ours en peluche contre lui. Je réprimais un frisson de terreur, de peur que la conversation ne tourne au cauchemar si « l’autre » apparaissait. Je ne dis rien, et retourna à ma tâche. Devant mon absence de réaction, mon petit-frère traversa la chambre en grandes enjambés et s’assit à mes côtés. Il m’observa attentivement, fasciné par mes mains habiles qui serraient des boulons, entraient des vis. Au bout de quelques instants de silence, il ouvrit la bouche :

    « _ Temari se fait encore frapper par Père… »

    Je ne lui répondis rien. Qu’y avait-il à dire ? Cette scène de violence était quotidienne, et si nous regardions cette scène morbide par le passé, nous l’évitions maintenant le plus possible.

    « _ Kan…Kankurô ? » hésita le petit garçon.

    Je détournai mon regard de ma marionnette pour me concentrer sur le visage tremblotant de peur de mon cadet. Jamais je ne lui avait vu cette expression si hésitante sur le visage. Il faut dire que nous ne nous voyions pas beaucoup : Père mettait une distance entre Gaara et moi. Les fois où nous avions passés des moments ensembles pour garder le petit frère, nous nous en souvenons, malheureusement.

    J’hochai la tête, pour l’inciter à continuer. Il murmura en posant ses yeux verts au sol –je me suis surprit à le trouver attachant ainsi, et non terrifiant comme souvent :

    « _ Tu me feras une marionnette s’il te plait ? »

    J’ouvris la bouche, pour la refermer et l’ouvrir à nouveau. J’étais tellement surpris qu’aucun mot ne sortit de ma bouche. Si je disais non, l’autre Gaara pouvait se manifester. Mais si j’acceptais à ce moment là, ce n’est pas par crainte d’une vengeance sombre de la part de mon frère. Plus par sincérité et par envie. Gaara me répondit par un sourire timide,  et il m’observa attentivement créer cette marionnette que je lui offrais. Entre temps, j’aperçu Temari qui nous détaillait du regard par l’entrebâillement de la porte. Elle était salement amochée. Son œil droit était bleuté, sa joue rougie par les coups. Je devinais sans mal qu’elle avait valsé contre le mur, elle tenait difficilement sur ses jambe. Elle ne nous regardait pas avec haine, ou rancœur, et encore moins avec orgueil. Elle nous observait tristement, hésitant entre sourire et pleurer. Puis elle s’éloigna.

    La soirée arriva. Gaara jouait avec sa marionnette dans sa chambre, alors que je quittai la mienne pour boire. M’arrêtant devant la chambre de ma grande sœur, j’entendis deux voix distinctes : l’une masculine, l’autre féminine. Je m’approchai, discrètement sans faire de bruits :

    « _ Il faut que tu saches Temari… » Je reconnus sans peine la voix de notre oncle Yashamaru. Cette voix fluette, féminine et grave qui m’avait longtemps bercée.

    « _ Tout ce qui concerne ce monstre ne m’intéresse pas.

    _ Il ne faut pas que tu lui en tiennes rigueur, il est schizophrène, tu le sais. Ce n’est pas…

    « _ Ce n’est pas de sa faute ? Il a tué maman ! Arrête avec tes beaux discours, tu le détestes autant que moi ce sale monstre ! Même maman le détestait ! »

    Un clac résonna, puis plus rien. Je me doutai bien que Yashamaru avait giflé ma sœur. Cette dernière n’avait d’ailleurs pas bronchée, elle avait trop l’habitude. Pourquoi, je ne le sus que longtemps après. Lorsque je fus plus grand pour comprendre, pour comprendre ce que voulait dire « schizophrène », pour comprendre que Yashamaru luttait chaque jour pour offrir de l’amour à Gaara, au dépend de Temari et moi.

    Tous deux recevaient de la reconnaissance : Gaara était pourri-gâté par notre oncle et notre père qui craignaient sa deuxième personnalité. Mais également pour cacher leur tristesse et leur dégoût qu’ils ressentaient quand ils posaient les yeux sur mon frère.

    Temari recevaient les foudres de notre père, fatigué de cette petite fille rebelle et arrogante qui ne faisait rien comme il fallait. Son beau visage était sali par des bleus, les gens baissaient les yeux sur son passage. Ce n’était pas enviable, et elle retenait chaque jour ses gémissements de douleurs. Foutue fierté.

    Et moi… rien. C’est égoïste de tout ramener à soi-même, mais c’est un fait. On ne me parle pas, ou très rarement. On ne me regarde pas, même Temari s’est lassée. J’étais seul, jusqu’au fond du gouffre, à sept ans, avec mes marionnettes comme seules amies.

     

    ***

    Culpabilité…

    Pendant longtemps, je me suis demandé qui j’étais. Je m’appelle Gaara Sabaku. Certes. Mais qui étais-je vraiment ? Qui suis-je vraiment ? Même encore, je cherche, je creuse. Et j’essaie  de me persuader chaque jour de ne pas être celui que je pense.

    Dix ans. Un âge où on est fier, où on se sent grand. Pour moi, c’était plutôt l’âge où chaque jour était un nouveau combat. La vie était comme une affreuse jungle où il fallait par tous les moyens survivre.

    Shukaku (car c’était comme ça que s’appelait « l’autre Gaara ») apparaissait de plus en plus souvent. Sans prévenir. Et lorsque je reprenais mes esprits, sans me souvenir de ce qu’il a pu se passer les quelques secondes, minutes, heures avants, je découvrais des visages apeurés, tristes, haineux. Souvent, ceux qui avaient eu le malheur de réveillé Shukaku s’étaient retrouvés à l’hôpital. D’autres étaient morts. Je ne contrôlais pas, les psychologues qui me suivaient restaient couacs,  les médicaments que je prenais me donnaient seulement d’affreuses migraines.

    Je savais que maman était morte par ma faute. Je savais pourquoi Temari me haïssait, pourquoi elle tremblait à mon approche, pourquoi Kankurô avait peur de moi. Mais je ne comprenais pas pourquoi Père m’avait, du jour au lendemain, ignoré et pourquoi j’essuyais chaque jour des tentatives d’assassinats. Au fond de mon cœur de petit garçon de dix ans, je comprenais parfaitement que mon père voulait se débarrasser de moi. Je re

    Posté le 22/03/2009 - 11h53